ISLAM, ISLAMISTES, ET LE PRINCIPE DES ÉLECTIONS AU MOYEN-ORIENT
| Août 17, 2010 | Commentaires 0
James Piscatori
Pour une idée dont le temps est censé être venu, La "démocratie" masque une étonnante
nombre de questions sans réponse et, dans le monde musulman, a généré
une chaleur remarquable. Est-ce un terme culturellement spécifique, reflétant l'Ouest
Expériences européennes sur plusieurs siècles? Les sociétés non occidentales possèdent-elles
leurs propres normes de participation et de responsabilité Ñet en fait leurs propres
des rythmes de développement qui retiennent l'attention, sinon respecter? Est-ce que l'Islam,
avec son accent sur l'autorité scripturaire et la centralité de la loi sacrée, Autoriser
pour une politique flexible et un gouvernement participatif?
Les réponses à ces questions s'inscrivent dans un récit et un contre-récit
qui eux-mêmes font partie intégrante d'un discours contesté. La grande histoire
se demande si oui ou non "l'islam" constitue une menace pour l'Occident, et le complément
l'histoire implique la compatibilité de l'Islam avec la démocratie. L'intellectuel
bagages, changer la métaphore, est à peine neutre. La discussion elle-même a
devenir extrêmement politisé, pris dans les controverses connexes sur l'orientalisme,
l'exceptionnalisme du Moyen-Orient en particulier et du monde musulman en général,
et le modernisme des mouvements religieux "fondamentalistes".
Classé dans: Algérie • Egypte • En vedette • Hamas • Jordanie • Jordaniens MB • Frères musulmans • Nouveaux mouvements soufis • Palestine • Études & Recherches • Syrie • Syrienne MB
About the Author: